-13 mai 2021 :
SDKFZ 234/4 Pakwagen canon court
/image%2F1477387%2F20210513%2Fob_70a648_munster-sdkfz234-4-side-dark1.jpg)
(Italeri - 1/35 - par Patrick G.)
Voici la restauration d'un modèle que j'avais assemblé au début des années 1990 et qui trainait dans ma caisse à "trésors".
/image%2F1477387%2F20210513%2Fob_9f2226_20201209-124630.jpg)
Il s'agit d'un SDKFZ 234/4 au 1/35 de chez Italeri que je destinais à une transformation en épave.
/image%2F1477387%2F20210513%2Fob_2a340a_20201209-131236.jpg)
/image%2F1477387%2F20210513%2Fob_ca373a_20201208-152205.jpg)
Finalement, le modèle étant devenu assez rare, je lui ai accordé un sursis en attendant de trouver le même modèle de la marque Dragon qui est plus aux standards actuels.
/image%2F1477387%2F20210513%2Fob_7a6106_20201210-182245.jpg)
J'ai rénové le camouflage, ajouté des détails de chargement me restant d'une boite de la marque Black Dog et j'y ai ajouté deux figurines de la marque "Warriors".
/image%2F1477387%2F20210513%2Fob_d8a7ef_20210106-132036.jpg)
/image%2F1477387%2F20210513%2Fob_dc6421_20210106-131722.jpg)
/image%2F1477387%2F20210513%2Fob_3c9ee2_20210106-132227.jpg)
/image%2F1477387%2F20210513%2Fob_297fcb_20210106-132146.jpg)
Le Sd.Kfz. 234/4 « Pakwagen » fut une version entrée en service en , armée d'un canon antichar PaK 40 L/46 de 75 mm, monté sur une casemate fixe blindée (30 mm sur l'avant, 15 mm sur les côtés), ouverte sur le dessus.
Ce canon était susceptible de percer 106 mm d'acier à 100 mètres sous une incidence de 30° (efficace donc contre les chars moyens, moins contre les chars lourds type IS 2), et pouvait utiliser des obus antipersonnels. Il était légèrement différent des armes principales utilisés par les derniers Panzer IV, KwK 40 L/43 puis KwK 40 L/48.
Contrairement à d'autres chasseurs de chars allemands comme le Jagdpanzer IV ou le Jagdtiger, le Pakwagen privilégiait la mobilité à la protection, mais restait très vulnérable à toute riposte.
Cette variante, produite à 89 exemplaires de à , poussait le Sd.Kfz. 234 dans ses derniers retranchements, le poids du canon pesant sur les essieux, son recul étant de plus difficile à encaisser pour un châssis aussi léger. Le manque de place induit par la présence de l'arme limitait l'emport de munitions à seulement 12 obus.