Si Paris vaut bien une messe*, le cinquantième anniversaire de sa libération valait bien ces deux miniatures spécialement décorées par Eligor.
Vous les aurez reconnues, il s'agit d'une Traction 11 BL noire (réf : 1031L) et d'une Renault Juvaquatre bleu foncé (réf : 1014B).
Ces deux miniatures au 1/43ème sont des collectors que l'on peut encore trouver assez facilement dans certaines boutiques ou sur les bourse d'échanges.
Merci Pascal...
* : cette formule est généralement attribuée à Henri IV, mais il se peut que ce ne soit pas lui qui l'ait prononcée (certains l'attribuent à son conseiller Maximilien de Béthune, plus connu sous le nom de Sully) ou même qu'elle n'ait jamais été réellement dite.
Nous sommes au XVIe siècle. Henri III désigne Henri de Navarre comme son successeur. Mais, après l'assassinat du roi par le moine Jacques Clément, la place toute chaude est convoitée par d'autres, d'autant plus que ce futur roi désigné n'est pas catholique.
Nous sommes au XVIe siècle. Henri III désigne Henri de Navarre comme son successeur. Mais, après l'assassinat du roi par le moine Jacques Clément, la place toute chaude est convoitée par d'autres, d'autant plus que ce futur roi désigné n'est pas catholique.
Celui qui va devenir Henri IV doit batailler ferme, au propre comme au figuré, pour enfin être admis sur le trône. Il finit par y arriver, mais uniquement après sa conversion au catholicisme le 25 juillet 1593 ().
Ce serait à ce moment qu'il aurait prononcé cette formule signifiant pour lui que si le prix à payer pour avoir l'accès à Paris, symbolisant la France et le trône, était simplement de devoir se convertir au catholicisme, symbolisé par la 'messe'[1], alors cela valait largement le sacrifice.
(Alors, pas culturel Milinfo ?!)